Depuis son apparition en 1983, le SIDA ou VIH a fait des milliers de victimes. On dénombre près de 23 millions de personnes décédées après avoir contracté cette maladie sexuellement transmissible. Et malheureusement parmi ces victimes, près de trois quarts d’entre elles sont issues de pays en voie de développement. Il semblerait donc que le SIDA touche plus particulièrement les personnes défavorisées. Et même si de nos jours des traitements permettent d’améliorer le quotidien de nombreux malades, il n’existe toujours pas de médicament capable d’éradiquer totalement ce terrible virus. C’est pourquoi il est essentiel de traiter le problème à la source et de parvenir à sensibiliser un maximum de personnes à cette maladie, comme nous l’explique François Marland à travers cet article.
Le facteur déterminant de l’environnement
De nombreuses études ont prouvé le lien entre pauvreté et maladie sexuellement transmissible. En effet, les pays en voie de développement, notamment sur le continent africain, connaissent une propagation particulièrement importante des maladies sexuellement transmissibles. Cela s’explique par des conditions de vie souvent très difficiles, un accès à l’éducation restreint et des inégalités de revenu importantes. Tous ces facteurs traduisent un manque d’information et de sensibilisation face à ces maladies graves.
La sensibilisation, un premier pas essentiel
Dans les pays en développement comme la République Dominicaine ou Haïti, il est essentiel d’assurer une prévention efficace face aux maladies sexuellement transmissibles car cela fait partie intégrante du bon développement économique et social de ces pays. C’est pourquoi, le travail des associations et des organismes humanitaires, comme celui de François Marland, permettent d’appuyer des efforts difficilement mis en place par les gouvernements. La prévention est donc une étape cruciale qui peut permettre de faire diminuer le nombre de personnes atteintes par ce type de virus.